• La J-Music du mois est Chou de Amano Tsukiko.

    Paroles :

    chika ni morguri ana wo hori tsuzuketa
    doko ni tsuzuku ana ka wa shirazuni
    tsuchi ni nureta sukoopu wo katate ni
    kimi no ude wo sagasite ita

    tsugihagi no shiawase wo yoseatsume makinagara
    kimi no tsuyosa ni ositsubusaretata

    yaketsuki
    yaketsuki
    hagarenai tenohira no ato
    chigireta tsubasa de akaku somaru kumoma wo saite
    jouzu ni habataku watashi wo mitsumete
    mayu ni kagomori egaita eien wa
    doko ni mebuki hana hiraku no darou
    asawayagate yamiyo wo tsuremotosi
    watasinomeubatteyuku
    tsuki akari
    tesaguride kasaneai motsurete wa
    kimi no arika ni nareru to shinji ta

    moetsuki
    moetsuki
    modoranai yakusoku no basho
    chigireta itami de kuroku somaru daichi wo kakete
    jouzu ni habataku watashi wo mitsumete
    sakendemo kikoenunara
    sono te dekowasite hoshii
    madawatashi wo watashi to yoberu uchi ni
    dakitomeru kimi no ude ga odayakana chiri ni kawaru
    tada shizuka ni
    sorawoaoida

    yaketsuki
    yaketsuki
    hagarenai tenohira no ato
    chigireta tsubasa de akaku somaru kumoma wo saite
    moetsuki
    moetsuki
    motoranai yakusoku no basho
    jouzu ni habataku watashi wo mitsumete 

    Traduction :

    J'ai creusé un trou dans les profondeurs sans savoir où il me mènerait.
    Un objectif poussiéreux dans la main, j'ai cherché ton bras.
    Assemblant des morceaux de bonheur à semer, tu m'as serrée de toutes tes forces, me brûlant encore et encore.

    Brûlée, brûlée
    Les cicatrices indélébiles laissées par mes paumes creusent un sillon dans la brume rouge-sang de mes ailes déchirées.
    Vois, je vole mieux que tu ne pensais.

    J'ai rêvé d'éternité enfermée dans mon cocon.
    Où se plantera-t-elle pour croître?
    Le matin finira par poindre, chassant l'obscurité et attirant mon regard.
    Je te chercherai, guidée par la lune.
    Nous serons une, de nouveau réunies.
    J'ai cru pouvoir devenir ton abri protecteur.

    Réduit en cendres, réduit en cendres
    Chez Nous est perdu à jamais.
    Cours à travers la plaine scarifiée par sa lente agonie.
    Vois, je vole mieux que tu ne pensais.

    Si tu restes sourd à mes cris, je te détruirai de mes propres mains.
    Tu t'accroches à moi, tes bras me retiennent et deviennent poussière légère.
    Je fixe le ciel sans mot dire.

    Brûlée, brûlée
    Les cicatrices indélébiles laissées par mes paumes creusent un sillon dans la brume rouge-sang de mes ailes déchirées.

    Réduit en cendres, réduit en cendres
    Chez Nous est perdu à jamais.
    Vois, je vole mieux que tu ne pensais.


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