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Par Adilisia le 15 Décembre 2008 à 19:10
La J-Music du mois est Chou de Amano Tsukiko.
Paroles :
chika ni morguri ana wo hori tsuzuketa
doko ni tsuzuku ana ka wa shirazuni
tsuchi ni nureta sukoopu wo katate ni
kimi no ude wo sagasite ita
tsugihagi no shiawase wo yoseatsume makinagara
kimi no tsuyosa ni ositsubusaretata
yaketsuki
yaketsuki
hagarenai tenohira no ato
chigireta tsubasa de akaku somaru kumoma wo saite
jouzu ni habataku watashi wo mitsumete
mayu ni kagomori egaita eien wa
doko ni mebuki hana hiraku no darou
asawayagate yamiyo wo tsuremotosi
watasinomeubatteyuku
tsuki akari
tesaguride kasaneai motsurete wa
kimi no arika ni nareru to shinji ta
moetsuki
moetsuki
modoranai yakusoku no basho
chigireta itami de kuroku somaru daichi wo kakete
jouzu ni habataku watashi wo mitsumete
sakendemo kikoenunara
sono te dekowasite hoshii
madawatashi wo watashi to yoberu uchi ni
dakitomeru kimi no ude ga odayakana chiri ni kawaru
tada shizuka ni
sorawoaoida
yaketsuki
yaketsuki
hagarenai tenohira no ato
chigireta tsubasa de akaku somaru kumoma wo saite
moetsuki
moetsuki
motoranai yakusoku no basho
jouzu ni habataku watashi wo mitsumeteTraduction :
J'ai creusé un trou dans les profondeurs sans savoir où il me mènerait.
Un objectif poussiéreux dans la main, j'ai cherché ton bras.
Assemblant des morceaux de bonheur à semer, tu m'as serrée de toutes tes forces, me brûlant encore et encore.
Brûlée, brûlée
Les cicatrices indélébiles laissées par mes paumes creusent un sillon dans la brume rouge-sang de mes ailes déchirées.
Vois, je vole mieux que tu ne pensais.
J'ai rêvé d'éternité enfermée dans mon cocon.
Où se plantera-t-elle pour croître?
Le matin finira par poindre, chassant l'obscurité et attirant mon regard.
Je te chercherai, guidée par la lune.
Nous serons une, de nouveau réunies.
J'ai cru pouvoir devenir ton abri protecteur.
Réduit en cendres, réduit en cendres
Chez Nous est perdu à jamais.
Cours à travers la plaine scarifiée par sa lente agonie.
Vois, je vole mieux que tu ne pensais.
Si tu restes sourd à mes cris, je te détruirai de mes propres mains.
Tu t'accroches à moi, tes bras me retiennent et deviennent poussière légère.
Je fixe le ciel sans mot dire.
Brûlée, brûlée
Les cicatrices indélébiles laissées par mes paumes creusent un sillon dans la brume rouge-sang de mes ailes déchirées.
Réduit en cendres, réduit en cendres
Chez Nous est perdu à jamais.
Vois, je vole mieux que tu ne pensais.
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